Un film de Louis-Pascal Couvelaire
Pays d'origine France
Durée 1h34
Sortie en France 24/07/2002
Sortie Mondiale
27/07/2002

Avec
Cyrille Thouvenin (Victor)
Jean-Hugues Anglade (Harvey)
Joaquim de Almeida (Noh)
Sagamore Stévenin (Simon)
Nozha Khouadra (Farah)
Thierry Ashanti (Beni)
Hubert Saint-Macary (Grease-Monkey)
André Duhamel (Félix)
Grégoire Lavollay-Porter (Félix)

Scénario Benoît Philippon avec Michael Cooper et Louis-Pascal Couvelaire
Musique Pascal Lafa
Production Davis Films
Distribution Metropolitan Filmexport

Sur le Web
À voir :
Site de fan de Cyrille Thouvenin

Nombre d'entrées en France:
51 449



 

Sueurs
 
Plein Gaz
 

30/08/2002
Un camion file à tout allure en plein désert. Il faut chaud. Ca se ressent. La sueur dégouline, la pression se sent. Un barrage de Jeep. L’équipage semble nerveux. Le poids lourds accélère, écartant par sa puissance les quelques malheureux soldats qui voulaient leur barrer la route. Bienvenue dans l’odyssée du désert, bienvenue dans Sueurs.

Si t’es tout seul, tu meures

En quelques instants Louis-Pascal Couvelaire plante le décor. Le milieu est hostile, les quatre protagonistes pas tranquilles. Mais qu’est ce qui se passe ? C’est très simple. Quatre types : Noh (contrôleur aérien), Simon flingueur patenté, fan de techno et psychologiquement fragile, Harvey chauffeur expert paisiblement déluré accompagné de son fidèle double Victor, se sont associés pour dérober une cargaison d’or valant la coquette somme de 16 millions de dollars, et, l’objet de l’aventure, traverser le désert pour l’amener à bon port afin de convertir ces tonnes de métal jaune en espèces sonnantes et trébuchantes.
Evidemment, le cocktail est explosif et tous n’arriveront pas au bout de l’aventure…

Acteurs de bonne aventure

Une histoire certes banale mais une ambiance captivante. Quelques épisodes de stress rondement menés comme cette descente d’une côte entourée de précipices en marche arrière où encore cette navigation à vue à travers un champs de mine. Sans oublier quelques trahisons, manipulations, et autres joies liées à la tentation.
Le duo Jean-Hugues Anglade (Harvey)/Cyrille Thouvenin (Victor) fonctionne à merveille. Ils aiment Piaf et, au bout du compte, leur amitié est solide. Vous savez tous tout le bien que je pense de ce jeune acteur, Cyrille Thouvenin, qui à chaque prestation remplit parfaitement son rôle et porte son personnage. (la confusion des genres, juste une question d’amour)
Les mauvaises langues diront que c’est parce que je ne résiste pas ni à son regard si expressif ni à son petit sourire. Et bien justement, son regard exprime ses émotions. Et moi, les regards expressifs ça me fait fondre. Mais n’allez pas croire que c’est personnel non. Prenez Julia Roberts dans « Erin Brokovich » son regard constitue un élément essentiel de son personnage. Et bien là, c’est pareil. Vous voyez certainement ce que je veux dire.

Et n’oubliez pas, si vous trompez vos amis, si vous vous retrouvez tout seul, vous serez vite lassés de compter les mouettes.
Un bon film, un (très) bon moment.

.::Jean
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