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L'histoire
Stéphanie, transsexuelle en ménage à trois avec deux hommes, raccompagne sa mère pour ses derniers jours à vivre, dans la maison d'enfance au pied des terrils du Nord. Le réalisateur capture ces instants intimistes, chaleureux mais tristes à la fois, pour faire surgir un univers glauque mais jamais terrifiant, où la compassion côtoie l'amour et la solitude d'une personne qui, sous ses airs... ... Nan, j'déconne.
C'est chiant. C'est plat. C'est prétentieux. J'aurais été mieux à dormir qu'à voir ce film.
Baillement
Lifshitz a fait un film pour lui, OK, il a le droit, il peut très bien se faire plaisir à lui sans porter attention au spectateur. Mais c'est pas une raison pour nous infliger des scènes aussi incongrues et inutiles qu'un reflet de vieux arbres dénudés sur un lac.
Et quelle est la nature humaine qu'il cherche à figurer? Il doit trop tourner autour du sujet pour qu'on puisse vraiment le savoir. La seule scène qui captive un peu l'attention, c'est l'anglais déplorable mais comique de Djamel.
Y a d'autres films à voir que celui-là cette semaine, assurément.
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