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Un jour, ras le bol, on prend la décision d'arrêter. Certains y arriveront seul mais pour la plupart une aide est nécessaire à cause du manque qui est le plus grand facteur d'échec.
Personnellement, lorsque j'ais passé le cap, j'avais d'abord diminué en retardant la première cigarette le plus tard possible dans la journée et en ne m'autorisant qu'une cigarette au maximum chaque heure. Le résultat m'a permis de réduire ma consomation à 10 cigarettes par jour à la palce de 20 ou 30 selon les circonstances.
La rduction de nicotine m'a préparée progressivement au sevrage et je me suis sentie enfin prête. C'set à ce moment que le destin m'a aidée par la rencontre d'un radiesthésiste chez une amie. Une seule séance a été nécessaire pour arrêter. La date est gravée dans ma mémoire, c'était le 1er novembre 1988. Crâce à cette aide, je n'ai pas ressenti le symptôme du manque et je n'ai pas compensé en grigntages. Depuis ce jour, je ne me suis jamais autorisée une seule bouffée de cigarette sachant que cela me serait fatal.
Lorsqu'on se sent vraiment mûr pour devenir non-fumeur, il serait dommage de gâcher ses chances de réussite en agissant seul. Malgré la bonne volonté, le manque de nicotinemet parfois les nerfs à fleur de peau, ce facteur fait bien souvent craquer, d'abord pour une petite bouffée destressante qui tourne à la reprise dans 95% des cas. .::Antoine
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